Les réseaux sociaux ont pris de l'ampleur dans la société africaine en général depuis quelques années. Ainsi, Edgard Guidibi, entrepreneur et ancien conseiller du président Yayi Boni, très actif sur Facebook, qu'il utilise fréquemment pour vendre ses services, ou encore parler de Dieu, a récemment créé la polémique en publiant un post justifiant sa position sur un sujet sensible : le travail des femmes. 

Je suis hostile au travail salarié des femmes ! Pourquoi ?    (9 raisons ci-après)

A la faveur de nos avis de recrutement très médiatisés, vous êtes nombreux à avoir remarqué que Global Service Plus ne recrute pas de femme pour travailler en son sein, bien qu’en tant que recruteur nous recrutons des femmes pour pourvoir aux besoins de nos clients qui nous les demandent. A juste titre, et à chaque nouvel avis de recrutement, vous êtes plusieurs à vous indigner de cela, à l’heure où tout le monde parle de parité et d’égalité parfaite entre les femmes et les hommes. J’aurais bien entendu pu, hypocritement, garder sous silence ce choix majeur de Global, me réservant lors de la sélection le droit d’écarter toutes les femmes. Mais cela serait malhonnête et incompatible avec le niveau de vérité et d’amour que me prescrit Christ, mon Seigneur et mon Sauveur. J’ai donc toujours préféré éviter aux femmes de perdre leur temps et leurs parfois maigres ressources, pour postuler avec de légitimes espoirs, à des recrutements dans lesquels elles n’ont chez moi aucune chance.

Après l’avoir régulièrement expliqué en privé à des centaines de personnes qui l’ont toujours compris et ont finalement admiré et adhéré à mon choix, j’explique publiquement ce choix important de Global, qui mériterait d’être considéré par un plus grand nombre d’employeurs, par toutes les femmes désireuses de vivre heureuses et par tous les hommes qui aspirent, sans hypocrisie, à un ménage heureux.

Voici donc résumées, les principales raisons pour lesquels Global ne recrute pas de femme.

1- Dieu le créateur de toute chose a laissé sur sa création un mode d’emploi, la Bible, qui nous enseigne comment vivre pour jouir sans chagrin de toute sa création. Toute personne qui fait le contraire de ses prescriptions, commencent d’abord par se sentir brillant et libre, mais finit toujours par souffrir et parfois mourir, des conséquences de ses propres choix insensés. La famille est la 1ère organisation structurante créée par Dieu. Elle repose sur un homme et une femme auxquels Dieu a distribué sagement des rôles pour qu’ils soient tous les deux heureux et que leurs enfants soient efficacement préparés à la difficile vie d’adulte performant et intègre. Dieu a ainsi fait de l’homme le chef de la famille et de la femme sa collaboratrice, son assistante dans cette noble mission de gérer efficacement la famille. L’homme a la responsabilité d’aller par toute la terre, travailler pour pourvoir à tous les besoins de sa famille, tandis que sa femme a la responsabilité d’être la gérante de la maison, la responsable de l’éducation des enfants, des affaires sociales et de l’économie familiale. Elle doit être à la fois une excellente épouse, une mère, une belle fille, une opératrice économique et l’assistante principale de son mari, dans toute famille qui se veut prospère et heureuse. Les défis de la ménagère sont donc ceux d’une gestionnaire de l’organisation familiale. Elle doit donc être polyvalente, performante, efficiente et sage tout en faisant preuve d’une endurance émotive extraordinaire. Pour réussir, elle a donc besoin d’être bien éduquée, préparée, entrainée et expérimentée. Aller à l’école est donc essentiel pour les femmes, car leurs missions le requièrent. Aujourd’hui le monde est désorganisé, les femmes ont abandonné ce rôle essentiel pour leur famille et toute nation, ont laissé leurs enfants grandir sans éducation pour devenir des cas sociaux, ont laissé leurs maris sans soutien approprié se faire détruire par différents fléaux, ont abandonné leurs maisons à des domestiques non qualifiées et se retrouvent après de brillantes carrières professionnelles avec une famille en loque et une vie qu’elle regrette amèrement. C’est en effet parce que la famille est détruite qu’elle est devenue incapable de fabriquer de grands et bons hommes pour nos nations. Cela est dû au refus contemporain de vivre le couple et la famille selon le modèle du créateur.

2- Les femmes qui travaillent doivent donc délaisser leur maison, pour gagner des salaires médiocres, qui sont loin de compenser ce que leur famille perd à les laisser travailler. Beaucoup de femmes sont ainsi subventionnées par leurs maris, puisque leur salaire suffit à peine à payer leur transport et qu’elle n’en vive qu’au prix des provisions beaucoup plus importantes de leurs maris. Ces femmes prétendent s’ennuyer à la maison et supplient leur mari de les soulager en les sortant de la maison, au risque parfois de faire des dépressions nerveuses. Si seulement, elles avaient été préparées à leur merveilleux et divins rôle pour leur famille. L’éducation des enfants est négligée, la famille mange tout le temps dehors, trop cher et mauvais pour la santé, tandis que les maris sont abandonnés aux jeunes filles désoeuvrées qui les occupent pendant que leurs femmes travaillent. Le surcoût pour leur famille de leur indisponibilité est toujours de loin supérieur à ce qu’elle gagne en travaillant. La femme qui travaille se retrouve aussi obligée d’essayer de ressembler aux hommes pour mériter sa position sociale. Au lieu de s’épanouir à être une grande femme, elle s’humilie et se frustre donc à essayer d’être un homme acceptable. Après avoir trimé pour performer au bureau comme son homme, elle devra toutefois rentrer pour essayer tant bien que mal de travailler maintenant comme une femme, du moins si elle veut sauver les meubles dans sa maison. Pendant ce temps, elle sera frustrée de voir son mari continuer d’être un homme assis devant la télévision ou en train de bavarder avec ses amis. Elle s’exténue donc à mener cette double vie insensée, toujours très ingrate et frustrant, où elle n’arrive à contenter ni son environnement professionnel, ni son foyer et son mari. Déchirée entre ses deux maîtres absolument incompatibles, elle est toujours frustrée, humiliée et souvent victime de stress, de dépression et de nombreux autres maux psychologiques. Une telle femme offre aussi aux hommes irresponsables, le prétexte rêvé pour se soustraire à leur obligation de pourvoir aux besoins de la famille. L’homme se verra alors payer l’électricité tandis qu’elle paie l’eau. La famille devient donc tout, sauf le havre de paix, le nid d’amour et de joie conçue par Dieu.

3- Regardez dans les livres saints, vous ne verrez jamais une femme qui aille travailler sous l’autorité d’un autre homme que son mari ou son père. Regardez encore aujourd’hui dans tous nos villages où la sagesse est encore respectée, vous ne verrez aucune femme qui aille travailler dans le champ ou l’atelier d’un homme autre que son mari ou son père. Regardez tout homme riche ou ayant un minimum de pouvoir social ; la 1ère chose qu’il exige de son épouse est de ne pas travailler, à moins de faire une activité autonome qu’il accepte de financer. J’affirme en effet par l’évidence qu’aucun homme, qui a le choix, ne désire que sa femme aille travailler chez un autre tous les jours. Et lorsque les femmes s’entêtent à travailler, elles sont tout le temps en conflit avec leurs maris et parfois leur belle famille qui sans parfois l’avouer, leur pourrit la vie parce qu’ils n’acceptent pas cette vie de fonctionnaire pour une femme. Chaque fois que la femme doit partir de la maison, le mari est jaloux et frustré mais obligé de refouler ses frustrations parce qu’il n’est même plus socialement admis de ne pas vouloir que sa femme travaille. Toute la journée le mari est jaloux et suspicieux, tandis que la femme souffre émotivement des tensions ainsi créées chaque matin. Et chaque soir, pour peu que le patron l’oblige à rester travailler un peu plus tard (chose qui ne poserait absolument pas problème pour un homme), la femme est certaine de passer une salle soirée dès qu’elle rentrera enfin dans son foyer. Si parfois la raison de cette colère est avouée et que l’homme demande à son épouse de ne plus travailler, bien souvent elle n’est pas avouée et crée de très nombreuses crises difficilement compréhensibles. Nombreux sont ainsi les couples qui se sont séparés et qui vous avouent après coup, que le travail de la femme était l’un des enjeux inavouables de leur incompatibilité. Une femme salariée est donc finalement malheureuse dans sa maison, comme au travail où elle devient contre performante car d’humeur changeante et de disponibilité toujours incertaine. Comment en serait-il autrement avec tout ce qui précède ?

4- La femme qui travaille est aussi exposée. Elle est souvent dans des fonctions comme celle de secrétaire, de commerciale ou d’hôtesse. Comme secrétaire, elle doit donc être la personne la plus proche et donc la plus intime de son patron dont elle gère les secrets. Le patron et elle doivent se voir des dizaines de fois chaque jour et parfois très longtemps. Pour le succès du travail, ils doivent être complices. Il est ainsi fréquent je me retrouve seul dans mon bureau, très souvent pendant plus d’une heure avec mon assistant, et lorsque des urgences le justifient, il arrive que je sois seul dans mon bureau avec mon assistant jusqu’à 23h voire au-delà. Qu’adviendrait-il si au lieu de mon assistant, je devrais ainsi me retrouver avec une assistante. Comprendrait-elle cela sans suspicion ? Si elle est de moralité douteuse, n’en serait-elle pas tentée ? Mes collaborateurs comprendrait-ils que le DG soit dans son bureau si souvent et des heures durant avec la secrétaire ? Et la proximité créant la complicité, jusqu’où le diable risque t-il de nous conduire ? Et lorsque le DG succombera au décolleté ou à la mini jupe de sa secrétaire, que se passera t-il ? Si elle accepte ses avances, elle aura des faveurs, sera promue, frustrera le reste du personnel en raison de son favoritisme, décrédibilisera le DG que personne ne respectera plus, et entrera donc le péché et la destruction dans l’entreprise. Bien entendu, quand le DG aura envie de changer de maîtresse, il n’aura d’autres choix que de la virer et de la renvoyer au chômage ou dans sa maison. Mais si vertueuse, elle ne cède pas à ses avances, il la brimera, l’indisposera et lui rendra la vie impossible. Il salira son dossier professionnel et elle devra donc soit s’offrir à lui, soit démissionner, retournant dans tous les cas à la maison après avoir été humiliée. Est-ce souhaitable ? Les hommes qui me demandent pourquoi je ne recrute pas les femmes le souhaiteraient-ils pour leurs femmes et leurs filles ?
5- Si elle est plutôt commerciale, le tableau est pareil. Chaque fois qu’elle appellera un client potentiel, il s’empressera de lui donner RDV pour voir la belle femme qui se cache derrière sa mielleuse voix. Elle aura donc facilement des RDV commerciaux mais ne vendra pas grande chose. Le client vicieux multipliera les RDV où il ne prendra aucune décision pour multiplier et prolonger sa compagnie. Il lui fera aussi des avances. Si elle refuse, elle ne vendra rien et sera donc tôt ou tard virer, renvoyée au chômage pour résultat insuffisant. Si elle accepte de se prostituer pour avoir un marché, le client lui jettera quelques miettes de commande, abusera d’elle, avant de l’éconduire aussi quand il aura pris son plaisir. Et dès qu’il sera fatigué d’elle et voudra changer de maîtresse, il fuira aussi la société dont elle était commerciale ou hôtesse. Dans tous les cas, cette femme d’autrui aura été utilisée comme un appât sexuel pour des hommes vicieux, sera humiliée et parfois violée (ne serait-ce que moralement), avant dans tous les cas de redescendre de son nuage et de perdre son boulot. Comment vivra t-elle dans ses conditions heureuses dans son couple ? Le patron qui l’a recruté sachant tout cela, aura t-il de quoi se disculper devant Dieu ? Ne sera t-il pas le premier responsable du désordre qui sera inévitable dans son couple et des enfants malheureux qui en découleront ? Oui, la responsabilité est très grave et lourde et les patrons doivent bien y penser, surtout que sachant cela, ils veillent pour la plupart à ce que leurs femmes ne travaillent pour personne, mais fassent juste des activités commerciales autonomes. Et là encore, ils n’accepteront à juste titre pas qu’elle aille de bureau en bureau, soit obligée de se prostituer aux frontières pour passer ses marchandises ou se retrouvent en position de se prostituer pour avoir de gros marchés.

6- La femme est conçue pour être heureuse comme une épouse, comme une mère, comme une ménagère et comme la patronne d’une maison florissante et prospère. Nos grandes mères qui étaient proches de ce modèle ont vécu beaucoup plus heureuses que nos mères, sœurs et filles. Plus la femme prétend s’émanciper du plan de son créateur, plus elle souffre et met toute la famille et la société en danger. La femme qui tient à prospérer professionnellement le fait ainsi au sacrifice de son ménage et devient souvent une mère célibataire ou une éternelle jeune fille. Passée la gloire d’un monde qui l’applaudit pour cet exploit, elle se retrouve confrontée à elle même et faisant l’amère expérience que les désirs de toute femme sont portés vers son homme, mais que selon le plan de Dieu ce dernier dominera sur elle. C’est ainsi que Dieu a conçu et équilibré les choses pour le bonheur de tous. Personne ne peut faire mieux que lui, sans en payer tôt ou tard un lourd tribu. C’est alors qu’on verra des femmes ayant apparemment tout réussi professionnellement se suicider par chagrin amoureux ou devoir recourir aux jeunes gigolos qu’elles sont obligés de payer cher, pour s’offrir ne serait ce qu’une petite partie des joies infiniment plus grandes d’un mariage normal.

7- Dans la vie de tout homme responsable, il arrive un moment où pour prospérer il ne peut plus se contenter de son salaire. Il lance donc des activités parallèles pour accroître ses revenus et son pouvoir d’achat. Qu’l s’agisse de mettre des maisons en location, de faire du transport ou de lancer d’autres activités commerciales, il échouera souvent et se fera escroquer s’il doit compter sur ses amis, frères ou associés professionnels. Mais dans le plan de Dieu, sa femme (si c’est bien celle que Dieu lui a destinée) est prévue et préparée pour être son meilleur associé, son meilleur atout. Elle sera souvent la plus apte à l’aider dans le développement de ses activités commerciales et l’aidera souvent à prospérer sans l’escroquer, pendant que lui poursuit son emploi salarié pour s’assurer une certaine sécurité financière. C’est d’ailleurs là que se révèle entre autre, derrière chaque grand homme, une grande femme. L’homme qui travaille avec sa femme (si parce qu’il mène une double vie, il n’évite pas de l’associer à son travail) ira très rapidement de succès en succès et les deux jouiront d’une paix devenue rare dans les couples. La femme sera disponible pour gérer sa maison, optimiser ses approvisionnements, veiller à l’éducation des enfants, gérer les affaires sociales et familiales, prier pour son mari, la conseiller, être sa douce épouse, sa parfaite associée et les deux ne feront qu’un merveilleux couple.

8- Par ailleurs, j’ai observé que les occidentaux, après nous avoir longtemps poussé à imiter leurs voies de perdition qu’ils appellent parité, émancipation et je ne sais quoi d’autres, sont en train discrètement mais clairement de se raviser. Dans les pays occidentaux, le travail des femmes en plus de faire exploser le chômage et de détruire toute la société après le tissu familiale, a créée des problèmes liés à la garde des enfants. Les baby-sitters sont très chers et peu de gens peuvent se les permettre. Les crèches, garderies et autres structures palliatives ont malgré les milliards de subventions, échouées à remplacer une famille normale avec une épouse qui s’en occupe au lieu d’être salariée. C’est alors que dans plusieurs pays, on pousse chaque femme qui accouche à prendre jusqu’à trois (3) ans de congés de maternité payés, en plus d’offrir plusieurs mois de congés payés aux pères eux aussi, afin de les inciter à rester chez eux pour s’occuper de leurs enfants. La femme qui comme au Bénin ferait 6 enfants, aurait donc 18 années de congés de maternités, soit toute une carrière si on y ajoute les temps de grossesse. Dit autrement, parce qu’il serait politiquement inconcevable d’inviter aujourd’hui les femmes à ne plus travailler, on les paye pour rester s’occuper de leur famille, parce que cela revient moins cher et est toujours plus efficace. Doit-on s’y prendre autrement pour avouer l’échec de ce diabolique modèle qui prétendait émanciper la femme et en faire l’égal de l’homme alors que les deux devraient s’enrichir de leur diversité et de leur complémentarité?

9- Notez enfin que lorsqu’une femme réussit à ressembler parfaitement à un homme et à faire tout ce qu’il peut faire, elle n’est plus éligible à la fonction de tendre épouse, à moins bien sûr que son homme soit un homosexuel. Aucun homme normal n’est censé être attiré par une femme qui au lieu d’en être une, n’est à ses côtés qu’un autre homme. L’home et la femme s’attire et se complète parce qu’ils sont différents. L’idée satanique selon laquelle les deux devraient être égaux est aussi celle qui a conduit à l’homosexualité et à la transsexualité. On ne peut donc être attiré par la parité et détester l’homosexualité.

Le plan de Dieu pour le bien être de la femme est merveilleux et n’a pas changé. Imaginez un instant que le monde revienne à ce modèle divin, y aurait-il encore du chômage ? Les hommes ne travailleraient-ils pas facilement pour pourvoir aux besoins de leur famille et de leur épouse, active et épanouie dans son rôle. Cette dernière bien formée, ne mettrait-elle pas tout son savoir faire au service de son mari, de ses enfants, de leurs affaires privées et de leurs légitimes projets communs ? Les femmes comme les hommes ne seraient-ils pas moins exposés aux différents péchés et à toutes leurs conséquences ? Le monde et nos enfants en particulier ne s’en porteraient-ils pas mieux ?

Je ne peux changer le monde, mais le croyant et serviteur de Dieu de surcroît que je suis, de même que le patron d’entreprise que je suis, ne peut plus se faire à l’idée de contribuer à une telle maltraitance des femmes et des familles en général. C’est pour cette raison et de nombreuses autres, que j’assume de ne plus pouvoir recruter de femmes à Global Service Plus. Je fais de nombreuses activités au profit des femmes, travaille pour leur réapprendre à vivre heureux dans leur famille et dans des modèles économiques selon le plan de Dieu (Proverbes 31), et les aide autant que je peux à prospérer avec leurs conjoints et non dans des entreprises qui les malmèneront. Je sais ne pas pouvoir être compris par tout le monde, mais j’assume ce que je crois et ce que je pratique avec succès depuis maintenant plusieurs années, après avoir expérimenté et vu expérimenter le malheureux contraire qui est à la mode.

A ceux qui se le demandent, sachez que j’ai deux filles et que je leur enseigne exactement tout ce que j’ai écrit ici, en priant pour qu’elle soit des femmes, des mères et des épouses selon le cœur de Dieu et non pas à la manière dépravée du monde. J’ai aussi une épouse, Hermione, qui après avoir travaillé 10 ans dans la fonction publique, a démissionné pour que nous vivions selon ce modèle. Elle est une assistante extraordinaire, sans laquelle je n’aurais pas réussi le quart de ce que j’ai entrepris ces dernières années. Elle pourra vous confirmer à quel point le bonheur d’une femme peut être grand de ne plus avoir à vivre les malheurs et harcèlements du fonctionnariat. Elle n’est pas pour autant une ménagère passive qui ne fait rien d’autres de son temps. Mais elle est devenue maîtresse de son temps, dont elle dispose prioritairement pour sa famille et ensuite seulement pour les oeuvres sociales et parfois économiques que Dieu lui met à cœur. Quoi qu’il en soit, elle est plus heureuse aujourd’hui qu’en tant que fonctionnaire. Tel est aussi le cas de nombreux couples, hommes comme femmes, que je connais et qui ont heureusement compris que travailler ensemble est la seule option sage et viable pour un couple qui se veut épanouie.

Global Service Plus continuera donc de ne pas recruter des femmes et je souhaite que de nombreuses femmes et couples revendiquent ce droit élémentaire pour leur réel épanouissement conjugal.

Source : Facebook Edgard GUIDIBI