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Société, # |
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Drôle de portrait dans M, le magazine du Monde, vendredi, de Bruno Ledoux, 49 ans, investisseur immobilier devenu actionnaire de référence du journal Libération. Celui-ci vit dans un hôtel particulier de 1 200 m² dans le VII e arrondissement de Paris, placé sous le signe de sa passion, Napoléon, et encombré de souvenirs de voyages. Voyages, justement, au moment de rencontrer la journaliste du Monde Vanessa Schneider (une ancienne de Libé...), il revient de la frontière syrienne où il s'est rendu " pour comprendre ", " une sorte de BHL sans porte-micro, un reporter de guerre qui ne publierait rien ", écrit la journaliste. Et il s'apprête à partir pour le Malawi, au cœur de l'Afrique australe, l'un des pays les plus pauvres du monde, pour comprendre si l'on " peut être heureux sans rien ". " "Un délire de bourgeois", balaie [son amie, ndlr] Maïwenn. "Quand on a connu la pauvreté, on n'a pas besoin d'aller la voir. " Lui dit : " Je suis un mec qui a joué avec le capitalisme, mais j'en ai vu les limites. Je me sens mieux, au plus profond de moi-même, quand je suis au milieu de gens qui n'ont rien. " " S'il le dit... La centaine de salariés de Libération qui doit quitter en ce moment l'entreprise appréciera... Lire sur LeMonde.fr (payant)
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