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Le capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis s'est longuement confié à L'Equipe, dans un entretien à retrouver dans notre édition de samedi. Il y affiche sa détermination et sa fermeté. Rarement un premier tour de Coupe Davis aura suscité autant d'attentes et la présence de Yannick Noah sur la chaise de capitaine l'explique en grande partie. Près de cinq mois après sa nomination, et deux semaines avant d'affronter le Canada en Guadeloupe (4-6 mars), le double vainqueur de la Coupe Davis en tant que capitaine a accordé un long entretien à L'Equipe, dans lequel il évoque notamment "l'adrénaline (qui) commence à monter, (...), des sensations que je n'avais pas ressenties depuis longtemps", avoue le nouveau boss des Bleus.
Noah explique sa sélection et ses choix, lui qui a retenu les "Mousquetaires" Monfils, Tsonga, Gasquet et Simon, ainsi que Edouard Roger-Vasselin. Sanctionner Gaël Monfils ? "Oui, j'ai été tenté, reconnaît-il. Ses propos ont touché l'équipe et quand tu touches l'équipe, tu touches quelque chose qui est sacré." Le dernier vainqueur français d'un Grand Chelem s'exprime encore sur le climat ambiant ( "Je ne sens pas autour de l'équipe quelque chose de beau et fort") et ses convictions en matière de gestion de l'équipe. "Il faut envoyer un peu de sourire"
"Maintenant, il faut envoyer un peu de sourire, de la forme, de la patate, assène Noah. Les joueurs qui ont la décision, ça ne fonctionne jamais. C'est pour cela qu'il y a un capitaine. Je peux prendre des décisions fortes, pas pour faire le spectale, mais quand elles s'imposent. Cette génération, c'est zéro titre du Grand Chelem, zéro Coupe Davis. (...) Si ces joueurs sont trop difficiles à gérer, c'est qu'ils ne méritent pas de gagner." L'intégralité de l'entretien avec Yannick Noah est à retrouver dans notre édition de samedi.
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