Dans un article paru sur le site "Mondafrique.com", la journaliste indépendante, Ghania Mouffok, relate un fait divers qui devrait faire réfléchir les populations Africaines, avant de vouloir émigrer dans des pays Arabo-musulmans ( Algérie, Maroc, Tunisie, Arabie Saoudite...).
De nombreuses personnes de ces pays nourrissent un racisme viscéral envers les Israéliens et les Africains et ce fait divers montre encore une fois, toute l'inhumanité et l'hypocrisie de ces populations qui prétendent croire en un dieu de justice.

L'histoire se passe le 1er octobre 2015, dans un quartier pauvre d'Oran, en Algérie. Il est tard et cette femme originaire du Cameroun qui rentrait chez elle, est brutalement prise à partie par un groupe d'Algériens, qui la menace avec des armes à feu, de poing et leur chien ( type pitbull, rottweiler ). La jeune femme est tabassée, avant d'être ramenée un endroit, où ces "salopards" vont la violée et la laisser dans un état abominable.
Des personnes du voisinage ayant donné l'alerte, le mari de la jeune femme ira la secourir et l'emmener à l'hôpital. Aux urgences, ils " " refusent son hospitalisation. ", refusent de délivrer à la victime un certificat médical et enfin refusent d'effectuer les prélèvements pour " la constitution de preuves " des violences subies. "
Le couple ira le lendemain à 3 autres hôpitaux ( maternité de CHU, clinique du Front de mer, clinique de Santal ) où ils essuieront les mêmes refus.
Ils décident alors d'aller porter plainte à la gendarmerie nationale de Yahhmoracen, pour que justice soit faite ; mais loin de là, le Brigadier après les avoir questionné afin de savoir s'ils possédaient des papiers et s'ils étaient chrétiens ou musulmans, ira jusqu'à les menacer de "cellule".

La journaliste livre une première conclusion en ces termes :

"Voilà comment est accueillie une migrante violée et son mari dans les institutions algériennes. Interdite de soins, interdite de déposer une plainte après une violence inouïe. Ni le personnel de santé, ni le gendarme en service ne seront jugé pour non assistance à personne en danger. Quand à ses agresseurs, au nombre de sept, ils pourront continuer à se jeter sur le corps d'une femme noire sur leur parking, sous les fenêtres de leurs mères, de leurs sœurs, de leurs filles et de leurs femmes qui savent déjà qu'il n'y a pas de justice pour les faibles en Algérie."

Le racisme et la haine qu'entretiennent un grand nombre de ces personnes originaires des pays Arabo-musulmans envers les Africains et les Israéliens, n'est plus a démontré. Alors, frères et sœurs, d'Afrique et Afro-descendants, arrêtez d'émigrer dans ces pays où vous serez méprisés et humiliés ! Mieux vaut mourir sur notre terre, sur la terre de nos ancêtres, que d'aller faire la charité dans ces pays où il y à un racisme violent, où ils s'entre-déchirent même entre eux !

Source : awakes.free.fr