Un membre du personnel de cuisine pose pour une photo au Azmera Restaurant à Accra dont la propriétaire de restaurant Afua Asante fait partie d'une nouvelle race de propriétaires de restaurants dans la capitale du Ghana, de servir une classe moyenne qui se développe.

Ebola a tué des milliers. Boko Haram menace de devenir le prochain groupe militant islamique à se tailler son propre territoire. Somalie semble à peine plus gouvernable que ce qu'il a pour les deux dernières décennies. Points chauds comme l'est du Congo semblent être inépuisables sources de conflit.

Sur la surface, l'Afrique subsaharienne peut sembler aussi désespérée que jamais. Et pourtant, pour tous ses malheurs, il ya un sentiment d'optimisme au sujet du continent que il ya eu dans un temps très long.

Contes des gens ordinaires tentent de leur mieux pour surmonter la guerre et la pauvreté sont toujours convaincante. Mais ce sont les histoires économiques moins viscérales qui brillera une lumière sur la voie à suivre. Il existe déjà un slogan de cet optimisme dans la communauté internationale du développement: "Africa Rising». Après l'économies asiatiques 'tigre', certains parlent de l'Afrique 'lion.'

Les taux de croissance pour un certain nombre de pays africains ont été parmi les meilleurs dans le monde depuis plusieurs années, et de rester forte, même si l'économie mondiale est en difficulté.

Investissement augmente et les Africains sont axés sur les moyens de fixation de goulets d'étranglement. incubateurs Tech créent des solutions du potager aux problèmes uniques africains lieu d'importer des logiciels hors-la-plateau d'Europe ou d'Amérique. Ajoutez à cela le marqueur très frappant de constater que la Fondation Gates prévue dans son rapport annuel la semaine dernière: Dans les 15 ans, l'Afrique devrait être en mesure de se nourrir.

Jetons un coup d'oeil au rapport sur certaines de ces questions.

Premièrement, il vaut la peine de reconnaître que l'Afrique a un long chemin à parcourir.Toute croissance se déroule sur une petite base, de sorte que les numéros peut faire paraître meilleur qu'il ne l'est en réalité.

La croissance ne est pas à égalité avec la Chine ou l'Inde, mais encore, que ce rapport de la Banque mondiale indique, les économies de l'Afrique subsaharienne se développent plus vite que beaucoup - et la croissance ne se limite pas aux exportations de matières premières telles que le pétrole.

La Banque mondiale a reconnu la semaine dernière que l'épidémie d'Ebola aurait un effet dramatique sur les économies des trois pays qui ont le plus souffert: Sierra Leone, le Liberia et la Guinée. Mais dans l'ensemble, il dit que l'effet à travers l'Afrique serait pas aussi mauvais que redouté fois .

L'économie du pays le plus peuplé de la région, chaotique Nigeria, est en forte croissance, aussi, en dépit de la montée en puissance de Boko Haram dans le nord - et l'incapacité des politiciens du pays ou des chefs militaires pour le combattre.

La Banque mondiale indique Nigeria commence à trouver son chemin autour de la "malédiction du pétrole" qui capte de nombreux pays producteurs de pétrole dans un réseau de dépendance, l'argent facile et la corruption. Les services représentent désormais plus de la moitié du PIB.

Entre-temps, l'investissement devient une question importante. L'infrastructure est un gros problème. Comme la Fondation Gates a fait remarquer la semaine dernière, la République démocratique du Congo entière, qui couvre le plus de territoire que l'Europe occidentale, a environ le même nombre de miles de routes pavées comme taille moyenne ville européenne. Il cite ensuite l'exemple du Ghana, qui réduit de manière drastique le temps de Voyage interne en élargissant une route principale.

Il peut être difficile de trouver des investisseurs privés avec la patience d'attendre un retour sur investissement des projets d'infrastructure. Mais l'économiste note que les investisseurs de private equity découvrent l'Afrique.

Ainsi sont les jeunes et les tech-esprit. Depuis quelques années, une zone de Nairobi a été un aimant pour les startups technologiques, et le bug de l'incubateur a pris dans de nombreuses villes à travers le continent. Parce que l'infrastructure a été aussi faible depuis si longtemps, beaucoup d'Africains ont hopscotched directement à la technologie de téléphonie mobile, et l'accent a été mis sur les applications mobiles relativement simples qui permettent un agriculteur, par exemple, de vérifier les prix des produits de base.

Pour certains jeunes Américains, ce est devenu la nouvelle frontière du monde de la technologie, et un endroit pour faire du bien. Beaucoup laver après une courte période. Et dans cette courte vidéo convaincante, un artiste kenyan pose des questions difficiles au sujet de pourquoi les Américains ne sont pas plus prêts à rendre service à la maison.

Gates, bien sûr, est un champion bien-pensant très sérieuse de l'argent derrière ses idées.

Comme David Leonhardt souligne ici, l'une des choses les plus frappantes sur les initiatives de la Fondation Gates en Afrique est l'accent dans sa lettre annuelle sur le continent étant capable de se nourrir.

Sept sur dix Africains sub-sahariens sont des agriculteurs, mais le continent doit importer des produits alimentaires des pays riches. Ce que les Africains ne poussent ne est souvent pas très nutritif, et il est difficile de déplacer des produits agricoles sur le marché. En outre, la population sera presque certainement continuer de croître - par un autre de 200 millions dans les 15 prochaines années.

La solution comporte de nombreux éléments: de meilleures semences, des engrais et des techniques agricoles, des infrastructures et de l'information du marché.

L'objectif? «La sécurité alimentaire" - l'Afrique étant capable de se nourrir - d'ici 2030. Ce serait tout un exploit.

minnpost