Depuis janvier dernier, Bobbi Kris­tina Brown est main­te­nue en vie dans un coma arti­fi­ciel, après avoir été retrou­vée incons­ciente dans sa baignoire. Ne montrant aucun signe d'amélio­ra­tion, elle pour­rait être débran­chée.

On croyait qu'elle allait mieux. Fin avril, son père, Bobby Brown, avait déclaré que Bobbi Kris­tina s'était réveillée. Ce n'est fina­le­ment pas le cas. Depuis cinq mois et son place­ment en coma arti­fi­ciel, la fille de Whit­ney Hous­ton dispa­rue en 2012, ne montre aucun signe d'amélio­ra­tion, même si son père y croit encore.

Une source a confié au site RadarOn­line que la jeune femme de 22 ans devrait être bien­tôt débran­chée et rame­née chez elle.

"Elle va rentrer chez elle pour mourir en paix. Ils pensent à la garder en Géor­gie et peut-être à la rame­ner chez elle. C'était sa maison et celle de sa mère. S'ils peuvent la rame­ner ce serait bien. Si elle est en vie alors lais­sez-la être à la maison, entou­rée de belles photos de sa mère. C'est le mieux que l'on puisse faire dans ce genre de situa­tion critique."

Un proche de la famille avait pour­tant déclaré il y a quelques jours au maga­zine People que Bobby Brown ne lais­sera jamais sa fille partir : "Même s'il reste 0,1% de chance, il ne débran­chera pas!"

Seuls le père et la tante de la jeune fille pour­ront prendre cette déci­sion diffi­cile. Si les machines qui la main­tiennent en vie sont débran­chées, Bobbi Kris­tina sera trans­por­tée dans la maison de Roswell à Atlanta, où elle a vécu avec sa mère. Si elle se réveillait, elle aurait des séquelles irré­ver­sibles, son cerveau étant large­ment endom­magé.

L'histoire se répète

La fille de Whit­ney Hous­ton et du produc­teur Bobby Brown a été retrou­vée incons­ciente dans sa baignoire, le 31 janvier dernier. Un acci­dent qui n'est pas sans rappe­ler celui de sa mère surve­nue trois ans plus tôt. L'inter­prète d'I Will Always Love You est morte noyée dans sa baignoire après avoir pris de la cocaïne.

Le malheur de Bobbi Kris­tina a attisé les tensions entre les familles Hous­ton et Brown, chacune se renvoyant la respon­sa­bi­lité du drame.

Crédits photos : Jim Spellman