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Bien que le Kenya ait été un producteur majeur de café pendant plusieurs décennies, ce n'est que depuis le début des années 2000 que les Kényans découvrent leurs mélanges particuliers cultivés au pays. " À Nairobi Java House, avec 27 agences dans tout le Kenya, nous sommes un promoteur de cette culture émergente. " Une conversation avec Kevin Ashley, DG de Nairobi Java House.
Les meilleures variétés de café
Au Kenya, la mode de boire du café n'existait pas jusqu'à ce que Dormans amène son expertise dans sa torréfaction et son traitement dans les années 1950. " Un demi-siècle plus tard ", déclare Kevin, " avec le nombre de Kényans qui voyagent et ont pu apprécier les meilleures variétés de café dans le monde entier, de retour à la maison la demande est montée en flèche. Nairobi Java House est à l'avant-garde de cette vague. " Les consommateurs à revenu moyenKevin : " Les quinze dernières années de croissance économique ont attiré des professionnels vers les centres urbains du Kenya. Ces personnes appartiennent à un groupe de consommateurs à revenu moyen qui peuvent s'offrir des produits orientés sur un style de vie. Ils sirotent un café quand ils visitent un centre commercial, ou en saisissent un en allant au travail le matin. Bien qu'on ne puisse pas parler d'une culture du travail axée sur la caféine comme aux États-Unis ou en Europe, l'appréciation du café a fait d'énormes progrès au Kenya. " Un avenir ambitieux" Nous envisageons un avenir ambitieux à Nairobi Java House ", conclut Kevin. " En 2015, nous ouvrirons douze autres agences. La plupart d'entre elles se situeront à Nairobi et dans d'autres grandes villes du Kenya, tandis que d'autres agences ouvriront également à Kampala, Ouganda. " Les plans d'expansion de Nairobi Java House prévoient que la marque ouvrira des magasins au Rwanda et en Tanzanie dans les années à venir et en Afrique de l'Ouest et du Sud au cours des dix prochaines années. Club Africa s'est entretenu avec H. Yagoub, Directeur général d'Afritec au Soudan. Le producteur de gomme arabique Afritec préfinance ses fournisseurs. Si les pays africains transformaient les noix de cajou récoltées sur le continent, l'Afrique abriterait une industrie de 1,9 milliards de dollars.
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