Société, # |
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" Je viens de passer un mois au Pays Maasaï, raconte Chantal Tunnacliffe, membre de l'association quimpéroise Breizh Solidarité Maasaï. J'ai rencontré beaucoup de Massaï. J'ai vu l'envers du décor. Celui que, lorsque l'on vient en touriste, on n'a pas la possibilité d'appréhender. " La représentante de l'association y est alors touchée par les conditions de vie des femmes. " J'en ai rencontré bradant leurs propres bijoux. Je les ai vues transportant de grosses charges de bois et faisant des kilomètres portant sur leur dos un bidon d'eau de 20 litres. Faciliter l'accès à l'eau est le but premier de l'association dont je fais partie. "
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