Politique, # |
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Devoir de mémoire ! Désormais qu'il est libre de sa parole, n'étant plus aux affaires, le successeur de Nelson Mandela se fait un devoir de témoigner et d'enseigner les plus jeunes sur les réalités géopolitiques qui enserrent le destin du continent africain.
"Il y a un chef des forces armées britanniques (Lord Charles Guthrie) qui a dit qu'il avait dû résister aux pressions du Premier ministre d'alors du Royaume-Uni Tony Blair qui lui demandait de mettre en place un plan militaire visant à renverser physiquement Robert Mugabe. Nous savons cela parce que nous avons subi les mêmes pressions nous invitant à coopérer dans un tel schéma. C'était un schéma de changement de régime, qui devait éventuellement passer par l'utilisation de la force militaire. Nous avons dit non. (...) Vous venez de Londres et vous dites que vous n'aimez pas Robert Mugabe pour des raisons qui vous sont propres. Les gens à Londres ne l'aiment pas et disent qu'ils vont l'enlever et mettre quelqu'un d'autre à sa place. Mais au nom de quoi cela devient-il une responsabilité britannique de décider qui dirige le Zimbabwe ? (...) Nous avons dit non. Laissons les Zimbabwéens s'asseoir et se mettre d'accord sur ce qui est bon pour leur pays", a révélé Thabo Mbeki. Source : cameroonvoice.com | |||
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